Un nombre de plus en plus grand de médecins se joignent au Dr John Lee pour reconnaître les avantages de la progestérone naturelle.
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Dr Carolyn DeMarco dans «Take Charge of your Body» (Prenez la responsabilité de votre corps) : «Les symptômes de la ménopause et la perte de masse osseuse sont principalement causés par un manque de progestérone. Les progestines comme le Provera n’aident pas et, de fait, produisent parfois des symptômes prémenstruels. La progestérone naturelle bio-identique semble être plus efficace, complètement sûre et sans effets secondaires nocifs.»
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Dr Robert M. Kradjian, M.D. (Berkeley) : «La progestérone naturelle bio-identique protège contre le cancer du sein. Ce sont les hormones synthétiques qui ont été impliquées dans l’incidence accrue de ce cancer. Malheureusement, l’administration de la progestérone naturelle est négligée comme thérapie protectrice. Au départ, cette thérapie réduit la sensibilité des seins et la tendance à la formation de kystes.»
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Dr Alan A. Gaby, M.D. (Prima Publishing) : «La progestérone naturelle bio-identique est non seulement plus sûre que l’estrogène, mais elle est bien plus efficace contre l’ostéoporose. Dans vingt ans d’ici, les scientifiques se demanderont pourquoi nous nous sommes tant attardés à l’estrogène et avons négligé la progestérone.»
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Dr Zoltan Rona, M.D. Canadian Journal of Health and Nutrition : «L’ostéoporose est un problème de santé majeur. Environ un tiers des femmes nord-américaines de plus de 65 ans en sont affectées. La progestérone naturelle bio-identique paraît être plus importante pour la prévention et le traitement de l’ostéoporose que l’approche médicale basée sur l’estrogène, les produits laitiers, les Tums et les ordonnances de calcium.»
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Le Dr Graham Coldtiz, un chercheur de renommée mondiale, publiait dans le New England Journal of Medicine (juin 1995) les résultats d’une vaste étude (Nurses Health Study) où plus de 121 700 femmes ont été suivies pendant 24 ans. Il en a conclu entre autres que le risque de contracter un cancer du sein était 46% plus élevé chez les femmes qui utilisaient l’estrogène durant plus de cinq ans.