Dans ses ouvrages le Dr John Lee spécifie que:
Tout d’abord il doit s’agir d’un dérivé de plantes (p. ex. l’igname sauvage) dont on a changé la structure moléculaire pour obtenir une copie conforme de nos propres hormones. C’est un processus qui a été mis au point en 1938 par Russel Marker, un scientifique de renom. C’est de cette façon qu’on obtient toutes les hormones bio-identiques : progestérone, oestrogène, DHEA et testostérone. Attention aux «extraits» d’igname sauvage où la plante n’a pas été transformée car il s’agit alors d’un phytoestrogène.
Deuxièmement le Dr Lee spécifie que la crème à la progestérone doit avoir une concentration d’au moins 1,8% de progestérone et idéalement 2,0%.
Troisièmement la crème doit être homogène. Si elle est granuleuse, la progestérone ne pénétrera pas la peau, restera à la surface et par conséquent le traitement ne fonctionnera pas. Ceci peut arriver à toute crème, par exemple si elle a été entreposée pendant un certains temps à la chaleur extrême (comme dans une voiture).
Les effets de la crème à la progestérone sont la principale façon de savoir si ces critères du Dr Lee ont été respectés. Dans le cas de crampes menstruelles, la crème procure un soulagement à l’intérieur de 10 à 15 minutes en l’appliquant sur le bas de l’abdomen. Dans le cas du syndrome prémenstruel, les effets sont habituellement à l’intérieur d’un mois.